Tu souffres, t’as envie de hurler, de crever, et pourtant tu n’oses pas en parler…
Par honte, par pudeur, ou peut-être même par peur.
Tu sais très bien que les gens en général s’en fiche du malheur des autres, ils sont « présents » pour toi que si tu réponds « oui » quand on te demande si ça va…
Tu es triste, et encore c’est un euphémisme, brisé, désemparé, complètement explosé de l’intérieur, tous ces mots ne sont même pas assez puissants pour décrire comment tu te sens. Et tu ne sais pas comment ni même si tu as envie de t’en sortir cette fois…
Je vais être franche avec toi, moi non plus, je ne le sais pas. […]