Est-ce que le premier amour se passe forcément mal ?
Est-ce que le premier amour se finit forcément un jour ?
J’ai envie de croire que non, j’ai envie de croire aux belles histoires qu’il y a dans les films, dans les livres…
J’ai envie de croire que l’on peut commencer à s’aimer adolescent et continuer de vivre cet amour jusqu’à la mort.
Oui, j’ai envie d’y croire, mais surtout, j’ai envie de le vivre avec toi.
Tu es mon premier véritable amour et j’espère que tu resteras auprès de moi jusqu’à la fin de nos jours.
© Amy Softpaws

Aujourd’hui si vous avez le malheur d’être triste, déprimé ou d’avoir un coup de mou, on vous regarde de travers en vous accusant de vous apitoyer sur vous-même. On vous conseille de « voir le bon côté des choses », on vous assure que « tout arrive pour une raison » et qu’il faut savoir apprendre des épreuves que l’on subit…
Pour certains « on choisit d’être malheureux » car c’est notre façon de vivre les choses qui nous rend triste et non les choses en elles-mêmes.
Donc, si on vit un deuil (entre autres), on doit juste sourire et dire « merci la vie de me faire grandir » ?

[…]

Me réveiller auprès de toi m’est devenu indispensable.
J’ai besoin de la chaleur de tes bras, de la douceur de ta peau,
de la tendresse de tes baisers pour commencer la journée du bon pied.
Si je me réveille sans tout cela, si je me réveille sans toi, mon humeur en est affectée.
Je sais d’avance que je serai grognon et déprimée, que je passerai une mauvaise journée.

© Amy Softpaws

Mon amour, peu importe l’heure de la journée, je pense à toi. Et la nuit, évidemment, je rêve de toi.
Dire que tu hantes mes pensées est un doux euphémisme…
C’est encore plus fort que simplement « penser à toi », je vis constamment avec toi dans le cœur…
Avec cet amour dévorant dont chacune de mes pensées, chacune de mes paroles, chacun de mes gestes est empreint.
Car oui, même si ce n’est pas à toi que je parle, même si tu n’es pas auprès de moi, mon amour pour toi « déborde » et se ressent dans tout ce que je fais, dans tout ce que je dis…
Chaque partie de mon être et de mon âme crie à chaque seconde à quel point je t’aime !
© Amy Softpaws

J’aimerais juste pouvoir te parler sans avoir à craindre ta réaction. Sans craindre que tu t’énerves et m’envoies balader.
Si je me confie à toi, ce n’est pas pour t’embêter, c’est parce que ça me fait du mal et que j’ai besoin de savoir la vérité.
J’ai besoin que tu me rassures, pas que tu m’embrouilles encore plus les idées et me fasses davantage douter.
Je ne te demande pas la lune, juste un peu de compréhension et de la sincérité…
Même si j’ai bien compris que pour toi, c’est compliqué.
© Amy Softpaws

Tu es arrivé dans ma vie et tu as tout changé,
tu m’as fait sortir de l’enfer dans lequel je m’étais enfermée.
Tu as transformé les larmes qu’il avait laissées derrière lui en éclat de rire,
les blessures si profondément incrustées, tu as réussi à les guérir.
Tu as reconstruit la ruine qui me servait de cœur,
tu trouves toujours comment faire mon bonheur.
Tu m’as donné tellement d’amour que ça a chassé tous mes maux,
dans tes bras, j’ai appris à aimer de nouveau.
© Amy Softpaws

Aujourd’hui c’est ça « être en couple ».
C’est se réveiller et préféré passer du temps sur son téléphone plutôt que dans les bras l’un de l’autre.
C’est garder des « nudes » de ses exs dans un dossier sur son ordinateur
ou son téléphone sous prétexte que ce sont des souvenirs,
que ça fait partie de son passé et que ça ne regarde pas l’autre car il s’agit de son « jardin secret ».
C’est faire passer ses envies, son plaisir personnel avant les sentiments de l’autre.
C’est être dans la même pièce, mais ne pas vraiment passer du temps ensemble.
C’est trouver les réseaux sociaux plus intéressants que la personne que l’on est censé aimer.
C’est insulter l’autre de connard ou de connasse « juste parce que c’est drôle ».
Mais le pire, c’est de trouver ce comportement normal, que ce soit devenu « naturel » pour certains.
Ou peut-être que le pire c’est d’agir ainsi et oser dire que l’on est amoureux…
© Amy Softpaws
28 janvier 2022|Mots-clés : , |2 Commentaires

C’est à la fois merveilleux et horrible d’aimer quelqu’un à ce point.
Au point que cette personne vous manque dès qu’elle n’est plus auprès de vous.
Au point d’avoir toujours besoin de ses câlins et de ses bisous.
Au point d’être incroyablement bien lorsque vous passez du temps ensemble.
Au point où vous ne pouvez pas vous endormir si cette personne n’est pas auprès de vous.
Au point où vous donneriez tout pour un de ses sourires.
Au point où vous sacrifieriez votre bonheur pour le sien…
Un amour si puissant qu’il est à la fois votre force et votre faiblesse,
qu’il vous coupe le souffle et vous rend incroyablement vivant…
Un amour aussi merveilleux que douloureux.
© Amy Softpaws

J’ai l’impression que mes mots sont trop faibles pour réussir à t’écrire, à te dire ce que je ressens pour toi…
C’est tellement puissant, mais aussi tellement frustrant…
Parce que je ne peux pas me permettre de trop en faire, de trop t’en donner au risque de t’étouffer.
Tu n’imagines pas à quel point je dois me contrôler pour ne pas tout le temps te coller,
pour ne pas te demander sans cesse de me câliner, de m’embrasser…
Et c’est dur parfois, non, souvent. C’est compliqué de réprimer ainsi mes sentiments…
© Amy Softpaws

Je ne peux pas dire « quand tu me manques »
car il n’y a pas une seule seconde durant laquelle tu ne me manques pas…
Donc « quand tu me manques » ne correspond pas à ce que je ressens
parce que ce « quand » pour moi c’est tout le temps…
© Amy Softpaws
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